Anúncios
Pas mal de candidats tombent dans les mêmes pièges sur leur CV, ce qui peut vraiment réduire leurs chances d’obtenir un entretien.
Éviter ces erreurs, c’est déjà marquer des points auprès des recruteurs. On parle ici de fautes d’orthographe, de mauvaises infos, ou simplement d’un CV mal organisé.

Savoir ce qu’il faut éviter, c’est se donner la chance de présenter un dossier pro, clair, et qui ne perd pas le lecteur en route.
Voici les principaux pièges à éviter pour améliorer son CV.
Erreurs fréquentes à éviter dans un CV
On retrouve souvent les mêmes bourdes lors de la rédaction d’un CV, et franchement, ça plombe la crédibilité.
Certains détails agacent particulièrement les recruteurs, alors autant les surveiller de près.
Fautes d’orthographe et de grammaire
Les fautes d’orthographe ou de grammaire donnent tout de suite une impression de négligence.
Un CV truffé d’erreurs peut finir à la poubelle, même si le profil technique colle parfaitement.
Il vaut mieux relire plusieurs fois, passer un correcteur, et, si possible, demander à quelqu’un d’autre de jeter un œil.
Les verbes doivent être cohérents, surtout pour décrire les expériences.
Attention aussi aux accords et à la ponctuation, ça fait la différence.
Quelques points à checker :
- Accord des participes passés
- Bon usage des temps
- Ponctuation
- Orthographe des noms propres
Ça peut paraître fastidieux, mais franchement, un CV propre valorise tout de suite la candidature.
Informations incomplètes ou erronées
Un recruteur veut du précis, à jour, sans incohérences.
Des infos manquantes ou fausses, et c’est la crédibilité qui s’envole.
Les dates des expériences et des formations doivent être claires.
Les intitulés de poste doivent être exacts, pas la peine d’enjoliver.
Utilisez les vrais noms des entreprises et diplômes, ça évite les mauvaises surprises.
Gonfler ses compétences ou inventer des diplômes, c’est risqué (et souvent grillé à l’entretien ou lors d’une vérif).
À ne pas oublier :
- Coordonnées précises
- Dates exactes (mois/année)
- Détails sur les formations et certificats
- Compétences réelles (pas d’exagération)
La transparence inspire confiance, c’est tout bête.
Mise en page désorganisée
Un CV fouillis ou trop chargé, et le recruteur décroche avant la deuxième ligne.
En général, il ne passe pas plus de trente secondes sur un CV lors du premier tri.
Il faut donc que l’information saute aux yeux.
Misez sur une structure claire : titres, listes à puces, espaces entre les sections.
Utilisez une ou deux polices, pas plus, et évitez les couleurs criardes.
Pensez aussi à l’impression noir et blanc, on y pense rarement mais ça compte.
À garder en tête :
- Bien séparer expériences, formations, compétences
- Limiter les polices
- Pas d’effets graphiques gadget
- Marges équilibrées
Une présentation aérée aide à mettre en avant ses atouts sans noyer le lecteur.
Mauvais choix de contenu sur le CV

Le contenu compte autant que la forme.
Il faut viser juste, être précis, et surtout coller au poste visé.
Expériences professionnelles non pertinentes
C’est tentant de tout mettre, mais ça peut vite noyer les infos utiles.
Répertorier un vieux job étudiant qui n’a rien à voir, ou un poste hors secteur, ça brouille le message.
Il vaut mieux privilégier les expériences qui apportent des compétences transférables ou des résultats concrets.
Un tableau peut aider à trier :
Expérience | Pertinence pour le poste | À inclure ? |
---|---|---|
Stage dans le même secteur | Très forte | Oui |
Bénévolat sans lien | Faible | Non |
Emploi précédent dans un domaine connexe | Moyenne | À considérer |
En gros, si ça n’apporte rien pour le poste visé, autant l’enlever.
Omissions de compétences clés
Oublier de mentionner des compétences essentielles, c’est passer à côté de la présélection, surtout avec les logiciels de tri automatique.
Il faut bien lire la fiche de poste et lister les compétences demandées dans une section dédiée.
Idéalement, illustrez-les par des exemples ou des résultats chiffrés.
Les mots-clés spécifiques sont super importants, sinon le profil peut sembler incomplet.
Utilisation de formulations vagues
Les expressions du type “sens du relationnel”, “dynamique” ou “travailleur” sans rien derrière, ça ne convainc personne.
Il vaut mieux donner des exemples concrets ou des chiffres.
Par exemple :
- Géré une équipe de 5 personnes
- Mis en place un nouveau processus documentaire
- Augmenté la satisfaction client de 15 % en 6 mois
Ça montre ce que vous avez fait, et c’est tout de suite plus crédible.
Les généralités, ça fait un peu amateur, non ?
Présenter efficacement ses atouts

Un CV qui fonctionne, c’est surtout un CV adapté à chaque offre.
Il faut savoir mettre en avant ses compétences avec des exemples concrets, pas juste des listes.
Adaptation du CV à l’offre d’emploi
Chaque candidature mérite un minimum de personnalisation.
Repérez les compétences et expériences demandées dans l’annonce, et faites-les ressortir.
L’utilisation des mots-clés de l’offre aide aussi à passer les filtres automatiques.
Organisez les infos selon ce qui compte le plus pour l’employeur :
- Les expériences les plus pertinentes en premier
- Adapter l’intitulé des postes si besoin (sans mentir)
- Faire ressortir les compétences en lien direct avec le poste
C’est ce genre de détails qui peut faire la différence au moment de la sélection.
Valorisation des réalisations concrètes
Décrire des réalisations précises, c’est franchement la meilleure façon d’illustrer ses compétences. Les résultats chiffrés, même s’ils semblent basiques, donnent tout de suite plus de crédibilité.
En plus, ça aide vraiment à saisir l’impact concret des actions menées. Par exemple :
- « Augmentation des ventes de 15 % en six mois. »
- « Optimisation du processus administratif, réduisant les délais de traitement de 30 %. »
Utiliser une structure claire comme tâche/action/résultat met chaque expérience en valeur. On évitera de s’en tenir à des descriptions vagues ou à de simples intitulés de poste—ça n’apporte pas grand-chose sur les compétences réelles, franchement.